Créée en 1890, la Fédération révolutionnaire arménienne, ou Dashnak, était un parti politique arménien de gauche. Son principal objectif était l’émancipation de l’Arménie ottomane et la sécurité pour le peuple arménien. Dashnak était le porte – parole des Arméniens en Turquie. Cette carte de membre a appartenu à Mariam Gulesserian, qui s’est jointe à ce parti en 1920.
Crédit : Adam Malkhassian.

Créée en 1890, la Fédération révolutionnaire arménienne, ou Dashnak, était un parti politique arménien de gauche. Son principal objectif était l’émancipation de l’Arménie ottomane et la sécurité pour le peuple arménien. Dashnak était le porte – parole des Arméniens en Turquie. Cette carte de membre a appartenu à Mariam Gulesserian, qui s’est jointe à ce parti en 1920. Crédit : Adam Malkhassian.

Die Weiße Rose était un groupe intellectuel de résistance allemande dirigé par des élèves et un professeur de l’Université de Munich. Le groupe a distribué des dépliants et a mené une campagne de graffiti anonymes appelant à s’opposer aux politiques antijuives du régime nazi. Ce monument commémore leurs activités, qui ont duré de juin 1942 à février 1943.
Crédit : Wikimedia Commons, l’utilisateur Gryffindor.

Par solidarité avec les Juifs et pour critiquer les politiques nazies, des jeunes antiautoritaires ont porté une étoile jaune arborant des mots comme « zazou », «breton » ou « swing ». Ici, Gabriel Rassial et Roger Teycherie posant avec une étoile jaune marquée « breton », qu’ils portent par solidarité le jour de l’entrée en vigueur de l’obligation du port de l’étoile, en juin 1942.
Crédit : Mémorial de la Shoah.

Fondé en 1978, le Front uni national pour le salut du Kampuchéa était un groupe de Cambodgiens dissidents déterminés à chasser les Khmers rouges génocidaires. Ils ont fait appel au soutien international et promis de rétablir les droits de l’homme. Voici l’emblème qu’ils ont adopté après la libération du Cambodge en 1979.
Crédit : Wikimedia Commons, l’utilisateur Xufanc.

Le Front patriotique rwandais a été créé par des exilés rwandais en 1987. En grande partie composé de réfugiés tutsis rwandais, le FPR s’est activé à développer une présence politique et à protéger la minorité tutsie. En 1993, après la signature des accords d’Arusha qui ont mis fin à la guerre civile au Rwanda, le FPR a acquis une place légitime dans la société rwandaise.
Crédit : Wikimedia Commons, l’utilisateur Amakru.